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Cogito’Z garde le contact avec les jeunes suivis dans ses centres

Par la rédaction, le 17 mars 2020

[Au fait !] C’est une lettre d’information signée Jeanne Siaud-Facchin, fondatrice et présidente des centres Cogito’Z (centres de diagnostic et de prise en charge des troubles des apprentissages scolaires), datée du 16 mars.

« Bonjour à tous,

Nous traversons une période trouble. Nous sommes chacun concernés. En cohérence avec les mesures préventives préconisées, Cogito’Z a décidé de suspendre les consultations en présentiel, mais de poursuivre son activité. Chaque Centre Cogito’Z propose des consultations à distance (skype, téléphone…). Vous pouvez contacter chaque équipe pour organiser les rendez-vous dont vous avez besoin pour vous ou vos enfants. Pour être présents et solidaires, rester en lien, nous proposerons une hotline ouverte à tous, des groupes de paroles autour des questions qui nous préoccupent y compris pour les ados perdus devant le travail à assumer seuls ou les difficultés des parents à accompagner leurs enfants pour leur travail scolaire. Des groupes pourront aussi se préoccuper du discours à tenir à nos enfants, de la solidarité que nous pouvons mettre en place, des liens différents que nous pouvons créer. Des Facebook live seront aussi proposés pour répondre et échanger autour de vos questions. N’hésitez pas à revenir vers nous par mail cogitoz@cogitoz.compour toute aide complémentaire que vous pourriez souhaiter et par téléphone auprès des Centres. Paris 01 55 37 03 52- Marseille 04 91 06 69 29- Avignon 04 90 14 90 42- Nantes 02 51 86 22 12- Dax-Bayonne 05 58 97 10 46-Genève +41 78 981 28 78 -Londres+ 44 (0)20 3709 3720 -Bruxelles +32 486 18.33.06. Nous traverserons tous ce moment tellement inédit au mieux de ce que nous sommes, de ce que nous vivons, des liens qui nous unissent. Bien chaleureusement, Jeanne Siaud-Facchin » ♦

 

  •  Vous pouvez relire l’article que nous avions consacré aux jeunes en souffrance avec le système scolaire dont la psychothérapeute Jeanne Siaud-Facchin prend le plus grand soin.

Les enfants « précoces » mieux repérés