[Série] Les souvenirs de voyage ont-ils une âme ? #2
Suite de notre enquête, avec l’interview d’Anna Zisman, ethnologue, réalisatrice, auteur de L’ego-objet et de Rapporter le désert à la maison.
Suite de notre enquête, avec l’interview d’Anna Zisman, ethnologue, réalisatrice, auteur de L’ego-objet et de Rapporter le désert à la maison.
Ils paraissent neutres et anodins. Pourtant, les souvenirs de voyage – masque indonésien, perroquet guyanais, moulin à prière népalais, cassettes de zook love des Antilles, statuettes du Zimbabwe… – cachent une signification particulière. Même lorsqu’ils n’ont aucune valeur intrinsèque.
Apporter un peu de réconfort et de bien-être aux chiens et chats de la SPA, c’était l’envie de ce couple de toiletteurs. Adam et Virginie n’ont pas hésité à ouvrir une annexe de leur salon dans les locaux du refuge de Marseille.
Connaissez-vous vraiment Noailles ? Pas moi. En tout cas, pas les entrailles de ce quartier surnommé le ‘’Ventre de Marseille’’. Il foisonne de personnages aux parcours de vie incroyables que Bénédicte Sire se plaît à incarner tour à tour. Ils viennent du Vietnam, du Cap Vert, de Djibouti, de Liban mais aussi de France…
Au musée océanographique de Monaco, un nouvel espace ouvert au public depuis avril dernier sensibilise à la préservation des tortues marines. Cette initiative vise à montrer que les tortues sont les principales victimes de l’homme, qu’il est urgent de les protéger.
Deux fois par mois, Kevin Ortega troque le confort du salon de coiffure où il travaille à Marseille pour l’atmosphère plus populaire des rues du centre-ville. Il y coiffe et rase les sans-abris qu’il croise.
Un brin utopiques, un chouia élitistes, les Napoléons misent sur la collaboration et le partage d’idées pour inspirer l’innovation et changer le monde, en mieux. Leur 10e sommet s’est tenu à Arles, avec une belle affiche de têtes bien faites.
Cette nouvelle rencontre avec nos lecteurs relevait un peu de la gageure : leur faire préférer une causerie du côté de la porte d’Aix à un apéro au bord de l’eau, c’était culotté ! Mais le détournement valait le coup. D’abord parce que la plupart d’entre eux n’étaient jamais venus à Coco Velten.