La convention citoyenne sur la fin de vie a rendu ses premières orientations : 74% des participants sont favorables à « l’aide active à mourir ». Les questions autour du droit de décider librement de sa mort déchirent les Français depuis de nombreuses années. D’un côté, les partisans d’une mort choisie défendent la légalisation de l’euthanasie et de l’aide au suicide. De l’autre, les militants d’une mort naturelle qui estiment que la loi actuelle est suffisante, mais souhaitent le développement des soins palliatifs. Décryptage et interview de Sigolène Gautier, psychologue référente de la SFAP, Société Française d’Accompagnement et de soins Palliatifs.
Depuis le 9 décembre, 185 citoyens tirés au sort réfléchissent ensemble à la question ‘’Le cadre d’accompagnement de la fin de vie est-il adapté aux différentes situations rencontrées ou d’éventuels changements devraient-ils être introduits ?’’.
La Convention Citoyenne sur la fin de vie