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Le challenge Mai à vélo roule pour une 3e édition !

Par Benjamine Lobier Milliat, le 10 mai 2023

Journaliste stagiaire

La Métropole propose désormais 2000 vélos électriques en libre-service sur son territoire @CapauNordEntreprendre

[bref] Cap au Nord Entreprendre lance à nouveau un challenge aux entreprises sur le territoire de Marseille Nord : parcourir 30 000 kilomètres en un mois. Promouvoir l’utilisation du vélo auprès des salariés est l’un des objectifs de l’association.

 

Pour la troisième année consécutive, Cap au Nord Entreprendre organise son challenge Mai à vélo : du 1er au 31 mai. À coups de pédale, les salariés devront parcourir 30 000 kilomètres. L’année dernière, l’objectif était fixé à 10 000 km. Les 77 participants qui se sont prêtés au jeu en ont finalement réalisé 24 000 km. Ce challenge est national, mais l’association Cap au Nord Entreprendre qui représente les acteurs économiques du XIIIe et XVIe arrondissement propose ce défi à destination des salariés et entreprises de son territoire.

L’un des objectifs de l’association est de mettre en avant tous les moyens de transports qui touchent à la mobilité douce, comme la pratique du vélo.

Pour s’inscrire, il suffit de télécharger une application sur son smartphone, puis d’y enregistrer chacun des trajets effectués. Le plus souvent, ces derniers sont les allers-retours entre le lieu de travail et le domicile. « Les entreprises se sont vraiment prises au jeu, il y avait un véritable challenge perso aussi pour les salariés », indique Laure Besacier, chargée de communication au sein de Cap au Nord Entreprendre.

 

Un exemple à adopter

Trois catégories basées sur le nombre de kilomètres parcourus, le nombre de salariés mobilisés et la meilleure communication interne et externe de chaque société viseront à récompenser les entreprises les plus performantes. Au début du mois de juin, une soirée de remise des prix clôturera l’expérience.

Ce challenge crée une vraie cohésion au sein des entreprises. Cap au Nord Entreprendre se félicite. « Par la suite, ces pratiques ont été adoptées par certains salariés tout au long de l’année », précise Laure Besacier.