Quatre Français sur dix déclarent acheter du vrac au moins une fois par mois, principalement dans le domaine alimentaire. De leur côté, des pharmaciens veulent sortir du tout jetable. C’est pourquoi de plus en plus d’officines proposent dorénavant des produits d’hygiène à faire couler dans ses propres contenants réutilisables. Comme ceux de la gamme Lab@bulles.
Le vrac a le vent en poupe depuis plusieurs années. D’après le réseau Vrac, le syndicat des professionnels du secteur, quatre foyers sur 10 déclaraient, en mai 2020, acheter sans emballages avant le confinement (bonus). En novembre dernier, le sondeur Yougov a observé la même tendance après avoir interrogé 1 007 internautes sur leurs pratiques quotidiennes. Quatre interrogés sur dix affirment acheter du vrac au moins une fois par mois, en particulier afin de réduire les emballages en plastique et restreindre les gaspillages. La plupart du temps, c’est pour les fruits secs (4 répondants sur 10), puis les confiseries et des légumineuses (3 sur 10). En revanche, moins d’un sondé sur deux a déclaré avoir déjà pris des produits d’hygiène sans contenant. Il faut dire qu’on en est aux balbutiements dans ce domaine.