Dany, Sara Maria et les autres
[Bénévoles] Depuis 2015, Daniel Jacquin dit Dany, le fondateur de l’association « On se gèle dehors », fait un travail incroyable auprès des personnes de la rue, avec beaucoup d’humilité et peu de moyens.
[Bénévoles] Depuis 2015, Daniel Jacquin dit Dany, le fondateur de l’association « On se gèle dehors », fait un travail incroyable auprès des personnes de la rue, avec beaucoup d’humilité et peu de moyens.
[Bénévoles] Un seul mot d’ordre pour le tandem des « Complètement Fadades » : fuck le cancer ! Émilie et Sophie se démènent donc pour embarquer des personnes malades à bord de challenges sportifs accessibles.
Offrir des maillots de course aux plus démunis, en France ou dans des pays pauvres, c’est possible grâce à l’association « Ton tee-shirt me fait rêver » qui en a déjà collecté plus de 15 000.
[Parrainé] Depuis 2008, l’Agence du don en nature redistribue des produits non-alimentaires à des personnes défavorisées. Avec la future loi anti-gaspillage, elle espère trouver davantage d’entreprises partenaires pour récolter un maximum d’invendus.
[Parrainé] Le mécénat n’est plus une œuvre de bienfaisance laissée à l’appréciation du patron qui a réussi ! La Responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) l’a élevé au rang d’enjeu de communication stratégique et le « fait du prince » a ainsi disparu au profit d’actions impactantes !
[Parrainé] Les Treize Minutes Jeunes Chercheurs, c’est comme une petite fête des sciences : des têtes bien faites rivalisent d’ingéniosité pour vulgariser leurs travaux. Souvent de façon ludique. En se servant de Star Wars pour expliquer comment freiner l’invasion de virus dans les cultures, par exemple…
On doit à un cancérologue aixois les centres « Ressource », ces tiers-lieux qui redonnent des forces et du baume au cœur, pendant et après un traitement. Là, on se préoccupe du malade plutôt que de la maladie, et les soins de l’âme comptent autant, sinon plus, que les soins du corps.
Parmi la multitude d’associations proposant du soutien scolaire un peu partout en France, je me suis intéressée à Arpej, installée depuis moins de trois mois dans un des quartiers les plus pauvres de Marseille. L’effectif, une quarantaine d’intervenants, a déjà besoin de s’étoffer.