En France, près de 30% des colonies d’abeilles disparaissent chaque année. C’est pourquoi, dans le cadre d’une démarche globale en faveur de la biodiversité, la Société des Eaux de Marseille soutient le développement de la filière apicole provençale. 120 ruches ont été ainsi installées sur différents sites d’exploitation gérés par la SEM et sont exploitées par des associations d’apiculteurs. 80 …
Avec ses coffee-shops solidaires, Café Joyeux propose un emploi ordinaire – cuisinier et serveur – aux personnes porteuses de handicap mental et cognitif. En attendant leur venue en Provence, reportage à Rennes où le premier Café Joyeux a ouvert en 2017.
« Le profit n’est pas une fin en soi ». Cette maxime est appliquée par Régis Arnoux, le PDG de CIS. Il y a 10 ans, il a créé une fondation d’entreprise pour permettre à des jeunes de milieux défavorisés de réaliser leur projet professionnel.
Très sensible à tous les gestes de solidarité, lui-même engagé dans différentes actions*, Alain Barlatier a donné la parole aux Marseillais qui se mobilisent depuis la catastrophe. Des femmes et des hommes « qui viennent de tous horizons d’un point de vue social et culturel ».
Le stage de 3e ? Une semaine d’observation entre novembre et mars. En trouver un ? Trop facile ! Entre les connaissances, le boulot et la famille, on a trouvé une entreprise passionnante pour notre fiston. Trop facile ? Pas pour tout le monde en fait. Pas pour les jeunes sans piston ni réseau, en particulier les collégiens des établissements classés REP (Réseau d’Education Prioritaire).
Imaginez un village de vacances totalement accessible, proposant des animations adaptées à tous et offrant des services d’assistance aux personnes handicapées. Bienvenue au centre de répit les Bruyères, à dix minutes de Vichy. Et si on vous en parle à l’automne, c’est parce qu’il est ouvert toute l’année !
Pourquoi les entrepreneurs devraient-ils être tous issus de grandes écoles de commerce ? Une initiative disruptive des Apprentis d’Auteuil pour former des jeunes sans qualification à la vente a piqué ma curiosité.
Des autocollants et petits pictogrammes collés sur les vitrines de plusieurs commerces de Marseille ont attiré mon attention. Ils indiquent que ce café, ce restaurant, ou ce magasin propose certains services à toute personne dans le besoin. Au-delà de ces relais pratiques, l’association Le Carillon bataille pour créer du lien social, changer le regard sur soi et sur les autres.
J’ai connu Yes We Camp à l’occasion de Marseille Capitale de la Culture 2013. C’était alors un mini-village à l’Estaque, nourri d’habitats en bois recyclé, d’événements culturels et festifs. Comment cette initiative joyeuse et spontanée, lancée par une poignée d’artistes, est-elle devenue une association aussi structurée ?
