Fermer

Marcelle a fêté 5 ans d’articles et de rencontres

Par Nathania Cahen, le 20 octobre 2023

Journaliste

Un parterre d'abonnés et de lecteurs attentif et enthousiaste @ Romain Colonna
Jeudi 12 octobre au soir, Marcelle s’était mis sur son 31 pour fêter ses 5 ans au ZEF, à Marseille. Une bonne occasion de rencontrer nos lecteurs. De mettre en lumière celles et ceux qui nous accompagnent en les invitant à évoquer leurs valeurs et leurs engagements. De faire de belles rencontres et de repartir avec le moral gonflé à bloc.

 

YouTube player

Une fois n’est pas coutume, ce compte-rendu va commencer par la fin. Par les remerciements. Ils furent rapides sur scène car le public, affamé après 90 minutes d’un ballet de « makers » investis, n’avait plus en tête que la dégustation de burgers annoncée. Vous comprendrez plus loin.

Marcelle a fêté 5 années d'articles et de rencontres 1Donc je reprends : merci à Francesca Poloniato et à sa formidable équipe qui nous accueillent toujours à bras ouverts, faisant un peu de la scène nationale du ZEF notre deuxième maison. Merci avec mention spéciale à Olivia Fortin, maire du 4e secteur de Marseille, régisseuse hors pair et membre fondatrice de Marcelle. Merci à nos dix marraines et parrains, tous venus plaider sur scène. Merci à la formidable équipe de journalistes, notamment Zoé Charef, la benjamine, venue tout spécialement de Grenoble, et Raphaëlle Duchemin qui a dirigé la soirée sans baguette, mais avec maestria. Merci à Emma Zeggane pour la vidéo anniversaire et l’animation des réseaux sociaux en amont de notre événement. À Stephan Muntaner pour ce magnifique flacon de Marcelle n°5 qui a conquis son monde. À Romain Colonna pour les photos et la vidéo que vous avez pu regarder un peu plus haut.

Merci à tous les exposants du petit marché de Marcelle : Squaaly et ses photos au profit de SOS Méditerranée, les biscuits antigaspi Bis Repetita, les confitures et conserves Fruits et Légumes Solidarité, les jeux L’Eclap, les espadrilles Espigas, la harissa Tava et le tote bag Marcelle. Nous vous disons en fin d’article où les (re)trouver.

 

Du tout petit média qui n’existait pas encore à… aujourd’hui !

5 ans, c’est pas mal. En septembre 2018, nous lancions depuis cette même scène culturelle un tout petit média qui n’existait pas encore. Et aujourd’hui nous sommes là avec, intacte, notre envie d’informer, de fédérer, de mettre en lien les uns et les autres. De réfléchir, pousser sous la lumière les solutions pour aller mieux, plus loin, ensemble. Nous sommes heureux d’incarner ce journalisme engagé que traversent deux valeurs fortes, la solidarité et l’éducation.

 

Quelques chiffres sur notre premier « quinquennat » 

Marcelle a fêté 5 années d'articles et de rencontres 5
La belle équipe de Marcelle ©Coco Malet

–       13 journalistes (3 hommes et 10 femmes) (8 en Provence et 5 à Paris, Montpellier, Grenoble, Lille et Nantes)

–       Plus de 1650 articles publiés, avec une petite anecdote en passant : l’article le plus lu est un portait du journaliste Ismaël Khelifa, paru en avril 2021

–       50 membres fondateurs auxquelles nous restons à jamais reconnaissants

–       Près de 2 000 abonnés

–       10 marraines, parrains ou mécènes selon la formule qui leur convient ! Avec, première surprise de la soirée, un passage de témoin concernant la rubrique Agriculture-alimentation. Le Fonds Épicurien a été le tout premier à nous suivre, et a même façonné le concept. Après cinq années et une présence précieuse à nos côtés, Tatiana de Williencourt passe le relais à Marie-Pierre Fabre, du Fonds de dotation de la Compagnie Fruitière.

 

Encore et toujours des projets 

Nous avons aussi bien sûr profité de ce beau parterre d’abonnés et d’amis de Marcelle pour évoquer nos projets

Un podcast, mais différent, sur une idée de Sylvain Martin, cofondateur du restaurant solidaire Le République. Ce seront des interviews et portraits de makers de la région en plateau. Un feuilleton décliné dans plusieurs formats, long, court et spécifiques à chaque réseau social pour toucher différents lectorats potentiels. Hébergée par Marcelle, sur notre site, la série démarrera en janvier.

Un réseau de veille citoyenne sur la pollution. Marcelle donne l’exemple à Marseille où se trouve le siège de la rédaction. L’idée provient d’un récent article consacré à la nouvelle génération de capteurs citoyens, que chacun peut installer chez soi – ce que Marcelle n’a pas manqué de faire ! C’est d’une simplicité absolue même si un peu flippant car l’appareil clignote souvent rouge… Via internet on peut savoir à tout moment l’état de la pollution enregistrée par son capteur, mais aussi les autres déployés en ville. Ce qui surprend c’est que Marseille ne dispose que d’une dizaine de capteurs parmi lesquels les quatre stations d’AtmoSud. En déployer partout permettra aux citoyens de connaître, là où il se trouve et à tout moment, la qualité de l’air qu’il respire. Et de faire pression sur le politique pour que les situations dégradées soient prises en considération. Un capteur coûte moins de 300 euros. Que les autorités ne les déploient pas est un signe ; d’où le lancement de cette veille citoyenne !

Marcelle a fêté 5 années d'articles et de rencontres 2

Des articles doublés d’une version… radio (et pas audio). Il s’agit pour Marcelle de tenter de capter l’attention des lycéens, plutôt génération zapping et réseaux sociaux… Nous publierons des résumés de nos articles parlant environnement, avec de vrais journalistes radio. 1 minute d’écoute plus accessible que 10 minutes de lecture. Avec l’espoir d’amener les professeurs à décrypter ces infos avec eux dans le cadre de l’éducation aux médias, grâce à un partenariat avec la Région Sud.

Un Marcelle méditerranéen et polyglotte. La ligne éditoriale reste la même, la mise en avant de solutions et de makers. Les articles (toujours un par jour) sont écrits par des journalistes des différents pays du pourtour méditerranéen dans leur langue. La fameuse IA nous permettra de traduire facilement les articles d’un pays à l’autre – mais va aussi nous astreindre à une écriture sans trop de fioritures et subtilités pour éviter les contresens.

Le lecteur français pourra donc lire en français des articles turc, espagnol, israélien ou libanais. L’inverse étant aussi vrai ! C’est très ambitieux, mais on y travaille. Avec un lancement souhaité le premier trimestre 2024. Ce projet découle des derniers rapports du GIEC qui annoncent la méditerranée mer morte en 2050. « Quand tous les hommes se tendent la main, le pire peut être évité ».

 

[au fait !]

Marcelle a fêté 5 ans d'articles et de rencontres 9
[au fait !] Quoi de neuf à Radio Ema, Yes We Camp et Estandon ? © Florence Juillard
Nos lecteurs connaissent bien ces deux petits mots entre crochets. Ils annoncent la mise à jour d’un article un peu daté ou d’un projet qui a évolué (dans le bon ou dans le mauvais sens !). Jeudi, nous avons pris des nouvelles de trois de nos premiers articles de 2018.

Mikha Elfassy nous a expliqué que Radio Ema allait bien (relire l’article détaillé ici). Cet espace de l’hôpital Salvator dédié aux adolescents en souffrance mûrit : une page Instagram, des chroniques sur Radio Grenouille et le beau projet de monter avec les CHU francophones un réseau des radios psychiatriques hospitalières.

Par ailleurs, Mikha Elfassy a besoin de matériel technique pour renouveler un parc vieillissant. Elle cherche aussi des intermédiaires pour inviter le chanteur Mika – la soirée Marcelle lui a cependant permis d’avoir des contacts pour Soprano ! Elle invite aussi qui veut à venir témoigner de son parcours ou de sa vie auprès des jeunes. « C’est magique assure-t-elle, les invités reçoivent autant qu’ils donnent ».

Il y a 5 ans, Marcelle avait aussi présenté l’association Yes We Camp (YWC), alors en pleine ascension. Son équipe travaillait sur le projet Foresta et venait de signer Coco Velten – tiers lieu emblématique de rassemblant hébergements d’urgence, entreprises principalement de l’ESS et cantine sociale. Cinq ans après, Cécile Baranger, membre du collectif, explique que l’association est prolifique avec 100 personnes en contrat et plusieurs projets dans l’hexagone, « toujours des lieux vacants ». Des bémols cependant, « notre modèle économique reste fragile ». Deux ans après avoir laissé la gestion de Foresta à une association, le parc est malheureusement à l’abandon, « mais la mairie envisage de le récupérer », souligne cette architecte. Pour Coco Velten, en décembre, le bâtiment sera repris par Marseille Habitat. « On est contents car une partie est conservée, dont l’hébergement et la cantine ». Quant à l’Auberge marseillaise, elle est plus vivante que jamais e héberge 70 femmes et enfants en situation de vulnérabilité.

Le 3e coup d’œil dans le rétroviseur concernait la coopérative viticole d’Estandon, à Brignoles, qui depuis neuf ans applique les principes du management libéré, plus horizontal que vertical. « Est-ce que les salariés sont plus heureux ? C’est bien difficile à dire car il n’existe pas encore de mesure facile pour le BIB, le Bonheur Intérieur Brut », observe Philippe Brel, le directeur général. Lucie Fourastié, responsable marketing qui le représentait a en tout cas expliqué combien elle était une salariée heureuse ! Depuis le mois de juin, l’entreprise s’est transformée en SCIC – Société coopérative d’intérêt collectif. Adoptant ainsi le principe « un homme, une voix ».

 

Les cartes blanches des marraines et parrains

Ils nous soutiennent, nous accompagnent souvent de façon : nos dix parrains et marraines. En remerciement, nous avons partagé la scène du ZEF avec eux. Une seule consigne : carte blanche, exercice libre en 3 minutes chrono ; en l’occurrence, le bol tibétain de Paul Molga (correspondant des Échos, de l’aventure Marcelle depuis le premier jour), sonnait le gong…

Le Fonds Épicurien avait invité l’École Comestible pour un atelier interactif grandeur nature animé par Lison Postel et Stéphanie Croce. La salle les a surpris par sa bonne culture générale maraîchère !

Pour Cross the Ages (ex : Rush on Games), Sami Chlagou et Richard Estève son associé ont présenté la saga éponyme mêlant l’univers du jeu, du roman, de l’animation 3D. Piloté depuis Marseille, Cross the Ages mobilise des talents du monde entier.  C’est actuellement le jeu de cartes le plus téléchargé dans le monde devant Pokémon. Le duo a également évoqué les investissements aux États-Unis dans des sources d’énergie propres pour alimenter les énormes serveurs de la Silicon Vallée. « Notre objectif est de créer un projet de société vertueux, connectant le monde virtuel de Cross the Ages à notre monde réel, avec un impact positif régénérant. Nous engageons notre communauté qui en six mois d’activité compte déjà plus de 300 000 membres à participer au financement de la transition écologique », a expliqué Richard Estève.

Marcelle a fêté 5 ans d'articles et de rencontres
Sami Chlagou et Richard Estève de Cross the Ages © Romain Colonna

Nicolas Jeuffrain, président-cofondateur de Tenergie, un acteur majeur du photovoltaïque, a lui choisi d’inviter Clémentine Lacroix, directrice de l’école NR Sud, pour présenter cette formation unique en France qui forme aux métiers de la filière solaire. « Des jeunes souvent sans études et avec peu de perspectives d’avenir prennent conscience qu’ils peuvent apprendre un métier qui a du sens. Cette formation leur garantit un emploi à la sortie ».

Marcelle a fêté 5 ans d'articles et de rencontres 3
Nicolas Jeuffrain , Tenergie, et Clémentine Lacroix, NR Sud ©Romain Colonna

À l’AP-HM, François Crémieux a évoqué cette ligne de crête qui sépare le Marseille qui souffre et le Marseille qui brille. François Crémieux qui collabore entre autres à la revue Esprit, venait de recevoir le prix Jean-François Rey décerné par le Congrès national des centres de santé pour des initiatives dans les quartiers nord. Le directeur général des hôpitaux de Marseille a fait un plaidoyer juste pour expliquer les deux Marseille qui se côtoient. « Le Marseille de l’excellence dans la santé, la recherche, les services médicaux… et celui de la misère dans toute une partie de la ville ».

Marcelle a fêté 5 ans d'articles et de rencontres 1
François Crémieux, directeur de l’APHM © Romain Colonna

Le Mucem, qui fête ses 10 ans et 13 millions de visiteurs a braqué son projecteur sur les projets participatifs et inclusifs pour les jeunes publics. Cécile Dumoulin, responsable du département du développement culturel et des publics a été fort convaincante en explicitant la nouvelle approche de ce lieu culturel phare, notamment « grâce à l’ouverture de son conseil d’administration aux associations de quartiers » pour créer et développer le lien. Elle a aussi évoqué l’espace inclusif qui sera déployé dans le jardin du fort Saint-Jean avec des enfants souffrant de handicap.

Marcelle a fêté 5 ans d'articles et de rencontres 2
Cécile Dumoulin, responsable du département du développement culturel et des publics du Mucem © Romain Colonna

En répétition pour sa création, Robin Renucci nous a souhaité un bon anniversaire par vidéo et a introduit le choix du théâtre national La Criée pour notre soirée : une « Danse du Pilon » réalisée par la troupe amateure des « Dames de Noailles » qui appartiennent à l’association Because U Art. Avec Marie-Jo Ordener, des Grandes Tables, elles imaginent des chorégraphies en lien avec les gestes et traditions culinaires des communautés de femmes.

Marcelle a fêté 5 ans d'articles et de rencontres 5
La danse du pilon des Dames de Noailles © Coco Malet

Pour Constructa, Sophie Masson a présenté une des actions de la jeune Fondation Marc Pietri. À ses côtés pour évoquer le soutien à l’AUP (association des usagers de la PADA – Premier Accueil des Demandeurs d’Asile de Marseille), Mohamed Senessie, vice-président de cette plateforme et Pierre Albouy, retraité marseillais, bénévole. Ils sont venus sur scène avec la maquette du prototype d’un bateau réalisé par des migrants talentueux qui pourrait préfigurer le prochain navire de SOS Méditerranée. Au-delà ils tenaient à mettre l’accent sur le sort des 10 000 demandeurs d’asile en attente d’une décision de la France. Le local mis à leur disposition par la fondation permet là encore de faire le lien. De les recenser, les orienter, leur apprendre le français et l’informatique. Autant d’atouts utiles s’ils décrochent le précieux sésame…

Marcelle a fêté 5 ans d'articles et de rencontres 4
Sophie Masson de Constructa et les représentants de l’AUP © Romain Colonna

La Fondation de France Méditerranée a passé en revue ses principales actions et structures soutenues récemment. Avec des photos commentées notamment par Anaïs Jacoby, la nouvelle Déléguée générale de la Fondation de France Méditerranée. Exposés clairs, concis et précis qui ont permis à la salle de prendre conscience du champ des actions couvert par ce fameux organisme philanthropique, mais également ses moyens et ressources.

Marcelle a fêté 5 années d'articles et de rencontres
Anaïs Jacoby, Christelle Nimerskern, Maéva Eme et Anne-Sophie Thorel, de la Fondation de France Méditerranée © Romain Colonna

Sylvain Martin, cofondateur du restaurant solidaire Le République est monté sur scène avec Audrey Belkhir, déficiente visuelle et membre de l’équipe de service des soirées « dining in the dark » qui se tiennent désormais dans le restaurant. La jeune femme pratique par ailleurs le goalball, un sport de ballon paralympique. Buteuse hors pair, elle cherche sponsors et bénévoles pour encadrer sa pratique et ses projets. Elle pourrait être sélectionnée pour les JO de 2024 handisports. Energique, drôle et très didactique, elle a captivé la salle.

Marcelle a fêté 5 ans d'articles et de rencontres 6
Grâce au République, on peut soutenir la joueuse de Audrey Belkhir, joueuse de Goalball © Coco Malet

 

La présidente de 13 Habitat, Nora Preziosi, a clos la séquence des parrains ce qui était normal puisque le premier bailleur social du département (avec 75 000 allocataires) est le dernier à nous avoir rejoints. Élue politique issue des quartiers, elle a souligné la présence de gens qui n’ont pas l’habitude de fréquenter ce quartier. Puis annoncé le lancement d’un fonds de dotation pour soutenir l’opération géante de rénovation du parc de 4 milliards d’euros sur 18 ans. Yemma, « maman en Algérien », aura pour vocation d’épauler les associations qui travaillent dans les quartiers où 13 habitat est présent, le temps de boucler un dossier ou d’obtenir les financements espérés.

 

Marcelle a fêté 5 ans d'articles et de rencontres 7
Nora Preziosi, présidente de 13 Habitat © Romain Colonna

Pour finir, Francesca Poloniato, notre hôte, directrice de la scène nationale du ZEF nous a présenté Ourida Malek et Danielle Galus, membres de Tremplin. Ce collectif permet la rencontre entre des artistes en résidence au centre social St Gabriel et les habitants. Cela débouche sur une découverte réciproque, un accès à la culture pour tous et une création artistique plurielle et urbaine.

Marcelle a fêté 5 ans d'articles et de rencontres 8
Francesca Poloniato, Ourida Malek et Danielle Galus © Romain Colonna

 

Des Ovnis et des hommes

La séquence émotion de la soirée aura été sans nul doute la commande de burgers au fast food solidaire voisin, l’Après M. Cet ancien restaurant Mac Do a fermé en 2020 à la suite d’un long bras de fer entre les salariés et la direction sur le nombre d’emplois et les salaires. Il est devenu un lieu emblématique lors du premier confinement, avec sa transformation par les salariés licenciés qui l’occupent en espace de solidarité. Pour pérenniser l’aventure sans dépendre de subventions ou de dons aléatoires, l’Après M est redevenu il y a un an un fast-food solidaire ascendant gastronomique. En effet, Gérald Passédat, le chef marseillais aux trois étoiles, a conçu spécialement pour lui deux recettes de burgers haut de gamme, vendus à prix modique.

Dans la salle plus d’une centaine de mains se lèvent lorsque la commande des Ovnis (le nom du hamburger culte) est passée. Sur scène Michel Tagawa, le président de Marcelle et Kamel Guemari, le directeur de l’Après-M sont émus. Rebelote une demi-heure plus tard, quand les participants couvriront d’éloges la qualité des sandwichs livrés en un temps record. ♦

 

Bonus
  • Les adresses
Marcelle a fêté 5 années d'articles et de rencontres 4
Les sablés Bis Repetita by Pain et Partage © NC

Les cartes postales et tirages photos de Squaaly au profit de SOS Méditerranée : en ligne sur HelloAsso

Les biscuits antigaspi Bis Repetita by Pain et Partage : bientôt sans doute dans des épiceries locales

Les confitures et conserves Les Marmites Solidaires : la liste des points de vente est sur leur site

Les jeux sur la société L’éclap : commande en ligne ou liste des points de vente sur le site

Les espadrilles Espigas : boutique au 3, cours Jean Ballard 1er et sur la boutique en ligne

La harissa Tava : en ligne mais aussi chez Super Cafoutch, Grande épicerie de Paris et d’autres boutiques listées sur le site

Le tote bag Marcelle (5 euros) : contact@marcelle.media

 

  • On se retrouve. Pour un Cinéthique mardi 7 novembre aux Variétés, Marseille 1er autour du film documentaire de Nicolas Philibert « Sur l’Adamant ». Sorti en avril 2023 et récompensé par le prestigieux prix « Ours d’Or » du meilleur film au Festival de Berlin en mars dernier. La projection sera suivie d’un débat animé par Marcelle, avec François Crémieux, Directeur Général de l’AP-HM et le Dr Jean-Marc Chabannes, Chef de service de psychiatrie, Vice-Président de la CME, AP- HM. Inscriptions en ligne, ici.
    Puis au théâtre de La Criée autour de la création de Robin Renucci d’après Aristophane, À la paix. Soirée avec les lecteurs de Marcelle en cours de préparation.